Ernestina a de nombreuses responsabilités au sein de notre hospice de soins palliatifs : elle dirige le travail du personnel, accueille les patients et échange avec leurs proches.
Très empathique et sensible à la souffrance d’autrui, c’est elle qui, le plus souvent, prépare nos patients à mourir.
Avec beaucoup de sensibilité et sagesse, elle échange avec eux dans les derniers instants de leur existence terrestre, en discutant avec eux de la vie, de la mémoire et de l’amour, plus puissants que la mort même.
Très souvent, Ernestina met de côté sa vie familiale et son temps libre pour accompagner un patient sur son lit de mort jusqu’au bout et pour assister une famille à accomplir toutes les formalités qui suivent le décès de leur proche. Épouse et mère de deux enfants, elle est mariée à un homme qui est très compréhensif envers ses choix.
Grâce aux dons mensuels que vous faites et par ceux des autres membres de l’équipe, nous pouvons continuer à repousser les limites du possible et ainsi changer des vies.
Nous vous enverrons un message à chaque fois que quelque chose d’urgent nécessitera votre attention immédiate. Nous vous tiendrons également au courant de tous les activités et événements importants.
14.07.2022
Enfin. Je l’ai fait ! Je suis si heureuse d’être ici. Cela fait 3 longues années que nous n’avons pas vu nos amis à l’hospice de Kabuga, au Rwanda, le seul endroit de ce genre dans le pays. Mais la vérité est que, que nous soyons ici ou non, GRÂCE À VOUS, chaque jour, beaucoup […]
12.02.2022
L’hospice de Kabuga a été visité par des élèves d’une des écoles locales. Toute l’école voulait y aller. Les sœurs ont dû limiter sévèrement le nombre de visiteurs, car toute l’école de 4000 élèves voulait participer. Ils s’attendaient à une rencontre difficile avec des personnes souffrantes, mais se sont retrouvés au milieu d’un foyer loin […]
02.07.2018
Samedi le 30 juin (2018), vers 14 h, notre chère mamie Marie s’est éteinte… Marie était la première patiente du centre des soins palliatifs des Sœurs des Anges de Kabuga. Elle y vécut pendant cinq ans. La Bonne Fabrique n’avait qu’un an quand le centre avait été inauguré. En effet, Kabuga était le premier projet […]