Make Good Not War
Nous vous demandons de nous aider à faire la différence pour des millions d’Ukrainiens qui en ont besoin maintenant. Nous croyons que nous ne pouvons pas tous observer passivement. Nous devons agir.
Nous vous demandons de nous aider à faire la différence pour des millions d’Ukrainiens qui en ont besoin maintenant. Nous croyons que nous ne pouvons pas tous observer passivement. Nous devons agir.
14.08.2023
09.08.2023
08.08.2023
La Bonne Fabrique est présente là où l’aide humanitaire est le plus nécessaire. Nous venons en aide aux habitants des régions les plus pauvres et les plus instables du monde, souvent ravagées par des guerres, des crises humanitaires, la misère, la famine et le manque de perspectives pour un avenir meilleur. Nous déployons nos efforts sur 4 champs d’action : aide alimentaire, soins de santé, éducation et création d’emplois.
Visualisez la carte:
Nous sommes présents dans des endroits dont peu de gens ont jamais entendu parler et où les conditions de vie sont difficilement imaginables, tellement elles sont dures. Certes, nous ne changerons pas le monde entier, mais grâce à votre générosité nous pouvons poursuivre nos efforts, pas à pas et centimètre par centimètre, en offrant notre soutien aux plus nécessiteux.
Nous apportons une aide humanitaire aux victimes de la guerre en Ukraine
Au Liban, qui traverse l’une des pires récessions économiques au monde, nous sommes aux côtés d’Adventure of Charity – Aventure de la Charité et aidons 260 personnes atteintes de maladies chroniques et de pauvreté avec des médicaments, de la nourriture et des produits d’hygiène et d’assainissement de base.
Nous préparons des repas pour des réfugiés du camp de Moria sur l’île de Lesbos (Grèce).
En Mauritanie, nous luttons contre la famine généralisée, résultat de la misère endémique et de la production alimentaire insuffisante dans ce pays sous-développé.
À la Bonne Fabrique, nous soutenons les personnes qui vivent le sans-abrisme. A travers le projet Un toit sur la tête, nous les aidons à reprendre progressivement la responsabilité de leur vie. En hiver, nous répondons aux demandes des centres travaillant avec les sans-abris. Nous leurs fournissons des kits de survie comprenant des vestes et des bottes d’hiver.
Au Rwanda, nous dirigeons l’hospice de soins palliatifs de Kabuga, le premier et l’unique établissement de ce type dans cette partie du continent africain.
Dans le petit village de Gourcy dans le nord du Burkina Faso, nous avons mis en place une coopérative agricole, financé la construction d’un moulin et l’aménagement d’un potager et inauguré un atelier de couture. Actuellement, nous poursuivons nos efforts en creusant des puits et en apprenant aux villageois à lire, écrire et compter. Tout cela pour permettre à la population locale, qui vit dans des conditions climatiques très dures, voire même désertiques, de gagner sa vie dignement et d’échapper à la nécessité d’émigrer sous le coup de la famine.
À Saoudè (une localité d’une pauvreté extrême dans le nord du Togo), nous fournissons tout ce qu’il faut à la pharmacie locale. Chaque personne dans le besoin peut y obtenir les médications nécessaires en échange d’un bol de maïs, de sorgho ou d’autres céréales. La nourriture est stockée pour être ensuite redistribuée aux plus nécessiteux pendant la saison sèche.
Au RDC, nous prenons soin d’enfants atteints de malnutrition qui, s’ils ne sont pas correctement pris en charge, risquent de développer la maladie de famine, potentiellement mortelle.
Dans le village de Ntamugenga, dans la province du Nord-Kivu, nous dirigeons l’hôpital local. L’une des régions les plus dangereuses du monde, le Nord-Kivu est ravagé depuis des décennies par la criminalité endémique, des rébellions à répétition et des troubles sociaux fréquents tout comme par l’imminence d’une nouvelle guerre.
À Dakar, nous parrainons une école professionnelle pour filles. Notre objectif est de contribuer à égaliser leurs chances d’avoir une vie adulte heureuse. Un diplôme d’aptitude professionnelle doit permettre à nos protégées de se sortir de la misère, d’échapper à l’émigration économique et de retrouver une stabilité indispensable pour fonder une famille…
Notre hôpital est le seul établissement médical accessible à plusieurs milliers d’habitants du village de Ntamugenga et de ses environs. Bien qu’il s’agisse d’une région exceptionnellement instable et dangereuse, chaque jour notre personnel soigne des patients atteints de maladie de famine ou de paludisme, effectue des interventions chirurgicales ou des transfusions sanguines et assure des accouchements, y compris par césarienne. Continuez la lecture pour apprendre comment vous pouvez nous aider à sauver des vies et protéger la santé de nos patients
Si nos Anges n’ont pas des ailes, ça ne les empêche pas pour autant de faire des miracles au Burkina Faso, au Togo, en RDC, dans notre hospice au Rwanda, dans un centre d’aide alimentaire en Maurétanie, au Liban ou encore dans un camp de refugiés sur l’île grecque de Lesbsos. Tout cela grâce à la générosité de nos formidables donateurs. Malgré le contexte difficile, nos équipes angéliques sont là pour prouver qu’en joignant nos forces, nous sommes capables de déplacer les frontières de l’impossible. Si ça vous parle, sachez que nos équipes d’Anges recrutent en permanence !
Bienfaisance24 est le meilleur produit d’investissement sur le marché ! En effet, le bénéfice produit y est toujours supérieur à la somme investie ! 24 heures sur 24, vous avez la possibilité d’investir votre argent dans… le bien ! Bienfaisance24 c’est la garantie que chacun de vos placements sera investi là oùc’est effectivement nécessaire !
5 PLN (environ 1,25 euros), c’est pour nous le prix d’un café, d’un journal ou d’un verre de jus… Grâce à un don hebdomadaire de 5 PLN, vous pouvez nous épauler à rendre le monde meilleur là où la misère, la guerre et la cruauté du destin privent les êtres humains de leur dignité et de tout espoir d’une vie normale. Si ça vous parle d’essayer d’y remédier, alors, Tope-là 5 pour un tout petit geste d’altruisme ; cela a une force motrice phénoménale.
« Le fait que tant de gens aient assez à manger chaque jour est un miracle qu’il n’y ait pas autant de monde – c’est de la méchanceté », Martin Caparros. Je suis extrêmement reconnaissant que la Good Factory, que je soutiens, fasse des miracles.
La mère de Gisèle n'a pas pu trouver la raison pour laquelle Gisèle ne parle pas et connaît des crises au cours desquelles elle s'effondre, se raidit et pleure. Sans argent pour les diagnostics, tout ce qu'elle pouvait faire était d'attendre que l'attaque passe. Nous ne pouvions pas accepter une telle impuissance.