55 enfants de Zhytomyr

Ukraine

Le 24 février 2022, la Russie a lancé une offensive militaire à grande échelle contre l’Ukraine, faisant de nombreuses victimes civiles et détruisant les infrastructures du pays. Depuis, près de 6,8 millions de personnes ont fui l’Ukraine, dont la grande majorité vers l’Europe, tandis qu’environ 3,6 millions sont toujours déplacées à l’intérieur du pays (octobre 2024). Plus de 12,6 millions de personnes non déplacées ont également été directement touchées par la guerre (mars 2025). Il s’agit de la crise de réfugiés qui connaît la croissance la plus rapide depuis la Seconde Guerre mondiale.

Nous ne pouvons pas rester indifférents face à la souffrance de nos voisins : nous avons réagi immédiatement pour leur venir en aide !

Dans les premiers jours de la guerre, nous avons livré

21 000

miches de pain pour les habitants de Kiev
Nous avons envoyé

20 tonnes

de vivres dans les zones touchées par le conflit
Nous nous occupons de

55

enfants évacués de l'orphelinat de Zhytomyr

05.04.2022

Aide aux enfants d’Ukraine.

55 enfants de Zhytomyr, chacun avec une expérience qu’aucun enfant ne devrait jamais avoir à vivre. Personne ne mérite la violence domestique, une réalité dans laquelle une bouteille d’alcool est plus importante que ses besoins, dans laquelle les pleurs et les cris se terminent par l’intervention policière. Lorsque les enfants sont arrivés au centre, censé leur assurer sécurité et aide professionnelle, des missiles russes sont tombés sur les bâtiments voisins. Le traumatisme qui a suivi les a laissés paniqués et terrifiés par la guerre.

Aujourd’hui, nous avons visité le jardin d’enfants de Lwiątko, en Ukraine. C’est là que les soignants du centre pour enfants de Zhytomyr ont évacué les élèves. Ils n’ont pas pu fuir à l’étranger car le statut de certains des enfants n’a toujours pas été résolu par les tribunaux. Nous ne pouvons pas montrer leurs visages, car beaucoup ne sont toujours pas en sécurité. Ce dont nous pouvons vous parler, c’est de l’aide que vous avez apportée aux enfants en Ukraine. Nous pouvons vous parler de la joie des petits et des grands qui nous sont confiés à la vue de plusieurs tonnes de nourriture, de produits d’entretien, de jouets, de fournitures scolaires et de médicaments.

Le jardin d’enfants de Lwiątko est un petit bâtiment au milieu d’un village ukrainien. Il n’y a pas de route goudronnée ici. L’institution ne reçoit aucune aide organisée. Tout ce qu’elle peut offrir aux enfants de Zhytomyr, c’est un toit au-dessus de leur tête et un modeste coup de pouce des fermes voisines, qui partagent ce qu’elles peuvent, bien qu’elles n’aient que très peu de moyens.

Une petite casserole bout sur la cuisinière. À l’intérieur se trouvent des pommes de terre, du chou et un morceau de saucisse. Il doit y en avoir assez pour le dîner de ce soir pour les 55 enfants dont nous avons la charge. Les plus jeunes se régalent de quelques gorgées de velouté. Ils ne savaient jamais ce qu’ils allaient manger le lendemain.

Cela change aujourd’hui ! Une autre Bonne Fabrique vient d’être construite en Ukraine. Nous resterons aux côtés de ces chers enfants jusqu’à ce que la guerre soit terminée et qu’ils retournent sains et saufs à Zhytomyr. Vous apprendrez leurs histoires et nous espérons que nous deviendrons tous amis avec eux. Demain, nous retournons à nouveau à Lwiątko.

Pouvez-vous nous aider aujourd’hui ? Oui !!! Nous en avons vraiment besoin, car l’aide pour Lwiątko doit affluer régulièrement à partir de ce jour. Que pouvez-vous faire pour ces enfants aujourd’hui ? Obtenez une bougie spéciale qui aide à financer le travail que nous faisons ici ! Et si vous souhaitez nous rencontrer et entendre parler de notre nouveau projet, nous vous attendrons devant l’ambassade d’Ukraine, rue Szucha à Varsovie, ce jeudi à 20 heures. Nous ferons alors briller ensemble la Lumière pour l’Ukraine ! Soyons solidaires avec l’Ukraine !

Aide urgente pour les seniors

Sauvons Laudy et Jean de l’itinérance

Toutes leurs économies ont été englouties par la crise économique. Ils n’ont pas pu payer leur loyer depuis neuf mois. Si le propriétaire perd patience, ils se retrouveront à la rue - sans aucune issue. Nous ne voulons pas qu’ils comptent les jours avant l’expulsion !

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